Les coopératives de travail au Chili en symbiose avec les énergies renouvelables, l’éducation et la durabilité
18 décembre 2015
Tel est le cas de la coopérative de travail Jatun Newen, dont les membres multiculturels dédient leur force de travail aux secteurs des toilettes publiques et de l’ornement, à travers les canaux de recyclages ils tentent de donner une seconde vie à des objets souvent considérés comme obsolètes ou simplement bon pour la poubelle.
De son côté, la coopérative de travail Centro Alerta dédiée à l’investigation, l’action participative, l’éducation et l’expertise-conseil, a participé durant le mois d’octobre à la conférence mondiale des peuples sur le changement climatique et la protection de la vie à Cochabamba en Bolivie. Cette participation se définit par la conviction de ses membres que le mouvement coopératif devrait être étroitement lié avec les différents mouvements sociales et populaires et en particulier celui qui lutte pour l’autodétermination des peuples et la défense des biens communs devant la machinerie menaçante du néolibéralisme.
De même, ils existent des cas dans l’ingénierie dans le secteur énergétiques, comme celui des coopératives de travail Coenergía, Kunlabora, Hunab Ku y Kutral qui a travers leurs travaux et parfois leurs entraide, se dédient à la consultation, l’élaboration et la création de projets en ingénierie d’énergie renouvelable et efficacité énergétique.
Jusqu’à maintenant, ils ont, entre autres, communément réaliser le design d’une centrale solaire photovoltaïque, l’installation de panneaux solaires thermiques dans des logements et bâtiments, des études de l’efficacité énergétiques d’industrie, le
développement de projets de création de biogaz utilisent des matières organiques.
TRASOL espère coopérer au niveau de la durabilité et autonomie énergétique des territoires, et de travailler en harmonie avec l’environnement, tout en étant conscient de l’impact social de ce travail.